Page "accueil"

Page "maquettes"

L'Artésien

Page précédente

Page suivante

Page 20

Page  "sommaire"

Les différents cadres des écoutilles sont réalisés à partir de profilé réalisés en fraisage ; les assemblages des angles faits de façon réglementaire, au scalpel.

 

Les différents éléments sont collés et polis.
Le cloutage sera fait par la suite (Ø 0,3 mm en ébène).

L'usinage des baux du deuxième pont se fait sur robot en 2,5D , ce qui entraîne des "paliers" de 0,14 mm sur les parties en biais (les couples sont en 2 parties, à l'exception des couples situés aux extrémités).

L'ébavurage se fait au scotch-brite, et non à la lime ou au papier de verre. Les formes sont ainsi gardées intactes.

 

Assemblage et collage (la photo a été faite avant collage ;  les extrémités des demis-baux seront d'abord arrondies ).
Les longueurs des assemblages sont fonction de la position des baux sur la longueur du pont.

L'ensemble des baux, avant mise à longueur. L'air de rien, cette mise à longueur est délicate à faire, car on prend comme première référence l'axe du bau, en relevant ensuite sur site la longueur totale nécessaire. Mais l'extrémité est en biais dans les sens horizontaux et verticaux, et ce n'est que lorsque toutes les coupes sont bonnes que le bau peut être mis en place.

Quelques couples ont ainsi dû être refaits.

Tous les baux ayant trouvé leur place, le tracé des hiloires a été fait en conformité avec le plan,
ainsi que le tracé des emplacement des traversins.
Des barres de laiton de 4x4 ont servi pour la réalisation de ces tracés.

Les baux vont être démontés un par un afin de mettre en place les clous d'assemblage et de réaliser les différentes encoches et logements pour l'encastrement des hiloires et le montage des traversins.

Les baux bruts en place vers la poupe.

La cloison longitudinale de la chambre du maitre canonnier.

Ajustements des différentes découpes

Parmi les pièces à préparer en même temps que les baux : la tamisaille, véritablement chemin de roulement pour le bras du gouvernail.
Ce profil en arc de cercle a été dégrossi sur robot, mais reste à réaliser la gorge qui va servir au passage de la drosse (câble reliant la roue du gouvernail au timon).

Un petit montage permettant le guidage lors du déplacement de la tamisaille. Le déplacement est fait à la main, ou plutôt avec les 2 mains. L'outil est une fraise boule dont l'axe de travail est incliné pour dégager la zone de travail.
Cette opération s'apparente à un travail sur toupie.

Le pouliot à 2 rouets est monté provisoirement sur le bau qui lui est destiné....

La tamisaille viendra prendre place sous 2 baux contigus

Le timon, équipé des 2 palans permettant la mise en tension de la drosse, est en place.
La drosse, seul câble restant de couleur naturel pour conserver plus de souplesse, est fonctionnelle. Le timon, ici sans le gouvernail, se déplace aisément.

Page précédente

Page suivante